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    Confection des sablés:certains n'hésitent pas à mettre les mains, d'autres sont beaucoup plus réticents.....Mais au final tout le monde est content et les sablés étaient réussis!! 


  • LE PORTRAITLE PORTRAITLE PORTRAITLE PORTRAIT 

    Portraits de la classe de GS-CP-CE1

     

     

    Je m'appelle Tylia. J'ai des cheveux blonds. Je suis gentille. Je n'aime pas les gens méchants.

    Je m'appelle Oxane. J'ai les yeux verts. Je suis gentil. J'aime jouer aux billes.

    Je m'appelle Bélinda. J'ai les yeux marron. J'ai les cheveux chatains. J'aime les écureuils et je suis gentille.

    Je m'appelle Enzo. Mes yeux sont bleus. Mes cheveux sont blonds. Je suis méchant quand mon frère et ma soeur m'embêtent. Je suis gentil et j'aime rigoler.

    Je m'appelle Clara. Mes cheveux sont longs et noirs. Mes yeux sont verts et marron. Mon nez est joli et petit. Ma bouche est rose. Je suis gentille. J'aime bien manger du cochon.

    Je m'appelle Lona. J'ai les cheveux blonds. J'ai les yeux bleus. Je suis gentille. J'aime ma maison parce qu'elle est grande.

    Je m'appelle Louis. J'ai les cheveux marron, les yeux marron. Mon nez est petit. J'ai des lunettes rouges ou jaunes et marron. Je suis gentil mais je n'aime pas que mon frère m'embête.

    Je m'appelle Eléa. Mes cheveux sont orange et jaunes. Mes yeux sont bleus. Mon nez est petit. Ma bouche est rose. Je suis timide. J'aime le judo et la danse.

    Je m'appelle Simon. J'ai les cheveux blonds. Mon nez est trop petit. Ma bouche est rouge. Je suis excité. J'aime le basket.

    Je m'appelle Nathan. J'ai les cheveux blonds. J'ai les yeux verts. J'ai la bouche rouge. Je suis timide mais parfois excité. J'aime le foot et le basket.

    Je m'appelle Emma. Mes cheveux sont marron. Mes yeux sont bleus. Je suis timide. J'aime bien faire du basket et du judo.

    Je m'appelle Louisa. J'ai les yeux bleus, les cheveux blonds. Mon nez est trop petit. Ma bouche est rose. J'aime rigoler. Je suis gentille mais je suis méchante quand ma soeur m'embête.

    Je m'appelle Zoé. J'ai les yeux marron. Ma bouche est rose. J'ai les cheveux marron et longs. Je suis rigolote. J'aime bien la danse: la samba. J'aime bien quand on me fait des guillis. J'aime bien donner à manger aux animaux.

    Je m'appelle Guillaume. J'ai les cheveux blonds. J'ai les yeux bleus. J'aime bien rire. J'aime bien faire du foot et du basket. Quand mon frère m'embête, je ne suis pas content. Et parfois ma soeur m'embête aussi.

    Je m'appelle Nolan. J'ai les cheveux blonds. J'ai des yeux vert-gris. Je suis en colère parce qu'une fille m'embête. J'aime bien faire du ballon.

     


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    Bélinda joue au dada.

    Emma aime le chocolat.

    Louisa aime les pizzas.

    Simon aime le melon.

    Clara n'aime pas les chats.

    Louis aime les souris.

    Guillaume aime les pommes.

    Zoé aime les bébés.

    Nolan aime les bananes.

    Nathan aime les chants.

    Enzo aime les taureaux.

    Oxane aime les ânes.

    Lona aime les lamas.

    Tylia aime les koalas.

    Eléa n'aime pas le coca-cola.

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  • HISTORIQUE DE L'ECOLE

     

    L’histoire commence au XVème Siècle, pendant les guerres de religion. A cette époque, La Voulte vit une période tranquille, en raison de la bonne entente entre son seigneur, Gilbert de Lévis, catholique, et le bailli, Giraud de Béziers, protestant. Mais la situation est différente dans les campagnes ou des bandes armées, menées par des chefs huguenots, dont le cruel baron des Adrets qui s’attaque à Lyon et Valence, sèment la terreur.

    Or au bois de Saint Michel, proche de l’actuel collège des Trois Vallées, vit paisiblement une communauté de religieux, les moines augustins. (Leur couvent fondé en 1325, existe toujours, au même emplacement). Très isolés du bourg, et livrés à l’insécurité du moment, ils demandent au seigneur de La Voulte, l’asile de ses remparts. Celui-ci, joignant la compassion à l’efficacité, accepte et leur demande en retour, d’assurer l’instruction des enfants du village ; ce qui fut fait et le reste encore aujourd’hui.

    Les moines installent leur école dans un bâtiment annexe du château et reconstituent leur vie de communauté dans une maison, leur appartenant, Grand ‘Rue. Ce couvent existe encore et présente une inscription lapidaire tirée des écrits de Saint Augustins : « Il faut mourir »… Le village se dote donc d’une population instruite, ce qui, joint à une exemption d’impôts, donne à notre bourg, la réputation d’une terre privilégiée.

    A la révolution, les chanoines de Saint Augustin disparaissent et la situation scolaire, comme dans toute la France, se dégrade jusqu’à l’arrivée de Marie Rivier, véritable « mère évêque », qui reconstitue la pastorale diocésaine en pleine tourmente révolutionnaire. La congrégation de la Présentation de Marie, qu’elle crée pour répondre aux besoins de la population, s’installe donc à l’école de La Voulte et prend le relai des moines.

    Plusieurs rapports d’inspections, en 1804 et 1815, font état de visites effectuée par la « Mère » déjà célèbre en Ardèche. L’école accueillait alors des élèves « payants » et d’autres gratuitement.

    Pendant la période des fonderies (1820-1890), l’afflux d’élèves fut tel, quel l’école dut s’agrandir. La scolarité étant gratuite pour les enfants des mineurs-fondeurs, ils étaient très assidus aux études. L’abbé Roche, savant historien de notre département, dont le père travaillait à l’ « usine » fut l’un de ces élèves.

    Les frères maristes succédèrent aux religieuses, puis ce furent les trinitaires déjà bien implantées à Valence. La guerre scolaire des années 1905 n’épargna pas « l’école des frères » qui prit alors l’appellation de « libre », ayant réussi à conserver son autonomie. Enfin en 1929, la congrégation des « Dominicaines » (communauté de Payzac puis du Puy en Velay) vint s’installer dans l’école qui se développa encore avec l’installation de l’usine Tase qui employait des jeunes ménages d’ouvriers dont les enfants fréquentaient l’école. Le blason de Saint Dominique figure d’ailleurs toujours au dessus de la porte d’entrée. C’est aussi à cette époque que l’établissement prit le nom de Saint Jeanne d’Arc. L’école accueillait indistinctement les filles et les garçons, jusqu’en primaire, et conduisait les élèves au Brevet, alors très prisé. Le rayonnement de l’établissement était important dans notre cité, car les sœurs, très populaires auprès de la population ouvrière, visitaient chaque semaine les familles, pour parler des enfants, de leurs problèmes et de leur scolarité ; une étude du soir était organisée, une cantine, et même un internat à la mauvaise saison.

    Il faut ajouter que le Théâtre paroissial, installé dans l’ancienne église, était en grande partie animé par les « grandes » de l’école, qui se mêlaient aux bénévole du village pour des programmations très appréciées des habitants.

    La période de la guerre de 39-45 fut très difficile, et une ancienne directrice fait état des « difficultés de ravitaillement pour la cantine ». Les sœurs servaient souvent « la soupe grasse » à des élèves dont elles savaient que c’était l’unique vrai repas par jour… « La sirène annonçait les alerte, dit-elle encore, et nous courrions vers le tunnel qui nous avez été attribué comme abri ; les enfants avaient peur, non sans raison puisque les bombardements d’août 1944 tuèrent une dizaine de personnes. Pendant cet été là, la maison fut visitée et pillée. »

    Une anecdote plaisante est souvent racontée par les élèves de cette époque ; leur directrice s’appelait alors Mademoiselle Deschanel, originaire de Payzac, en Bas-Vivarais. Quelle ne fut pas leur surprise, un matin de 1941, de la voir en classe en habit de religieuse dominicaine, le gouvernement ayant autorisé les religieux enseignants à reprendre leur costume ! Elles l’appelèrent désormais sœur Marie-Ephren.

    Dans les années 1960, quelques supérieures et directrices énergiques, donnèrent encore un développement important à Saint Jeanne d’Arc : création d’un cour ménager, installation aux cités Gillet d’une annexe : l’école Marie Dominique, pour accueillir les élèves des quartiers nord de la ville qui s’étendaient.

    Les sœurs quittèrent l’école dans les années 1970, unanimement regrettées par la population qu’elles avaient enseignée pendant plus de quarante ans, et c’est aujourd’hui à une équipe d’enseignantes civiles qu’est confiée cette mission.

    Toujours fièrement campée sur le rocher voultain, l’école libre Sainte Jeanne d’Arc forme toujours les élèves dans un environnement à la fois historique et en prise réelle avec son temps. Nous lui souhaitons encore quelques siècles d’existence !

                                                                                            Article écrit par Philippe Brun.


  • Semaine du goûtSemaine du goûtSemaine du goûtSemaine du goûtSemaine du goût

     

    Dans le cadre de la semaine du goût, l'ensemble des élèves ont participé à un atelier dégustation de fruits organisé par l'équipe éducative.
    Ils ont pu (re)découvrir des fruits qu'ils connaissaient comme la poire, la banane, l'orange, le pamplemousse, la datte, la mangue....